Fort de Rinlow [Lieu Intermédiaire]

Suite à cette attaque, la pégase fondit en larme... Seul quelques paroles furent capable de sortir d'entre ses lèvres tremblantes:

"P... Pitié je... Je veux... Je ne veux pas... Je n'ai rien fait... Je ne peux pas rentrer... Je vais mourir... Je..."

Elle était incapable de s'exprimer plus clairement, tellement la peur avait été vive. Elle espérait cependant de tout coeur que l'assemblée comprendrais enfin ce qu'elle voulait...

Le garde se prépare malgré tout à lancer l’attaque finale.

[Garde] Elle est à bout. C’est le moment !

Il lève son arme, près à l’abattre sur la jeune fille totalement désemparée. Mais l’épéiste lui saute au cou, lui maintien la bouche ouverte et le force à ingérer le contenu d’une gourde. Le garde s’effondre, endormi. La jeune fille est toujours en larmes.

Ardil avait tiré son épée pour arreter le garde, mais voyant que l'épéiste avait été plus rapide, il la ragaina et s'adressa a la jeune fille
Ardil: Mademoiselle, je suppose que vous n'etes pas venu ici toute seule pour vous battre contre un fort entier. Pourquoi etes vous ici?

[Désolé, Tear...]

[je m'intègre]

Ondorus marchait il descendait une colline la il vit un fort avec devant la porte une cavaliére pégase,un mercenaire,un épéiste ,un lord et un garde allongée par-terre.Il descendit.
Shaman:Que ce passe t-il ici?
Lord:Une cavaliére pégase a voulu percer nos front pour on ne sait quelle raison
mercenaire:je crois qu'elle veut juste un toit pour dormir
Epéiste:Ce qu'il peut être béte ce garde
Lord:Il fait juste son travail

"Pitié..."

Mourante de trac, mourante de peur, peut être morte... Meora avait l'impression que sa voix venait d'autre part que son propre corps, comme si ce n'était plus elle qui parlait. Elle était pétrifiée, elle ne pouvait pas prononcer le moindre mot, c'était impossible... Et pourtant elle sentait ses lèvres bouger, sa langue s'agiter, son souffle passer. Jamais, non jamais elle n'aurait imaginer perdre autant ses moyens. Pourtant, à quelques moments de sa vie elle s'était trouvée dans des situations délicates où il lui était difficile d'expliquer pourquoi elle avait effectuée une certaine action, mais maintenant... La peur la gelait de l'intérieur, comme si toute chaleur avait décidée de quitter son corps encore emprunt habituellement de la rassurante vitalité de la jeunesse. Comme si... Elle grandissait. Non, elle vieillissait. D'au moins 20 ans. Elle venait de voir la mort, l'envi de tuer... Tout cela en même temps. Comment pouvait-elle donc parler après cela? Pourtant, elle continuait.

"Je ne veux pas mourir... Sauvez-moi... Sauvez-moi..."

Ardil contemplait la jeune femme totalement désemparée. Elle semblait etre terrifiée par ce qui se passait. Elle ne pouvait pas avoir été envoyer pour tuer, c'était impossible.

Ardil:"Mademoiselle, souhaitez vous rentrer ici?"

Garde:"Milord! Que faites vous?"

Ardil:"Vous, vous feriez mieux de regarder! Ce désespoir n'est pas feint, c'est evident! Inutile de la tuer!"

Mercenaire: Il n'est certainement pas feint... Elle n'a probablement jamais tué, et elle n'est pas du tout en mesure de le faire dans son état de traumatisme actuel...

Ardil: Euh... Vous êtes?

Mercenaire: Je suis Silphenix, un mercenaire...

Ardil: Vous êtes bien jeune...

Silphenix: Ceux qui ne choisissent pas leur voie commencent toujours trop tôt... Même vous, Mylord, n'est-ce-pas?

Ardil:Hum...oui, vous avez raison...quant a cette jeune fille, laissez la entrer dans le fort, on ne va pas rester ici toute la journée!

Dawn et ses troupes marchait toujours en direction de Rinlow. S'ils arrivaient trop tards, que Salia avait repris Rinlow, ils resteraient en position à Rinlow. Si Salia avait perdus, ils lanceraient un assaut.

Soldat : Nous arrivons, milord. Rinlow est derrière cette colline.
Soldat 2 : Là ! C'est le seigneur Ardil ! Ont-ils gagnés ?
Dawn : Apparemment. Allons-y ! Nous n'apprendrons rien sur la situation de Salia en restant plantés là.

Les troupes de Dawn descendirent la colline, et rejoignirent Ardil.

Dawn : Mon prince !
Ardil : Dawn ! Nous venons de reprendre le fort.
Dawn : Je m'en veux de ne pas avoir pu envoyer mes renforts plus tôt.
Ardil : Vous êtes là, maintenant. Et c'est le principal.
Dawn : Oui...
Ardil : Dites, connaissez-vous cette femme ?

Il désigna la fille au bord de la mort.

Dawn : Non. Désolé. a part ça, je peux envoyer mes troupes surveiller le secteur, si vous voulez.